Il faut distinguer 2 catégories de « passeurs » : les « petites mains » qui sont bien souvent des migrants eux mêmes. Ils n’ont pas l’argent nécessaire pour traverser, servent de rabatteurs pour 10 ou 15
migrants et financent ainsi ensuite leur propre passage.
Les chefs des réseaux eux ne sont pas sur Calais. Il s’agit de réseaux mafieux internationaux qui vivent de la traite humaine.
L’enjeu économique est très important est peut être la source de conflits dangereux.