Monsieur le sous-préfet mardi matin (17 septembre, matin de l’évacuation) nous affirmait, avec un sourire supérieur, que cette fois-ci les gens évacués ne reviendraient pas.
Les associatifs sont sur le terrain et connaissent la réalité : les migrants reviennent faute de propositions adaptées.
125 repas jeudi midi, 250 vendredi, 350 samedi et 400 dimanche (avec évaluation à 500 du nombre des présents…)
Quand les autorités accepteront-elles de reconnaître la réalité : inutilité des évacuations sous la contrainte, et avec les empreintes Dublin ?…