Dans le numéro du 29 novembre 2022.
Des bénévoles de Salam Dunkerque y sont mis à l’honneur.
Dans le numéro du 29 novembre 2022.
Des bénévoles de Salam Dunkerque y sont mis à l’honneur.
Voici une nouvelle effarante que nous transmets Christian Hogard, président du Secours Populaire de Dunkerque.
Le prêtre de la paroisse de Loon-Plage, très choqué, l’a informé qu’un exilé avait été enterré sans aucun témoin au cimetière de Loon-Plage : un trou, une croix, même pas un écriteau avec une date et « inconnu », comme on voit au cimetière de Calais.
Apparemment aucune association n’a été contactée, le groupe décès non plus.
Aujourd’hui, mardi 22 novembre 2022 vers 16 h, Jean-Claude Lenoir, président de Salam Nord/Pas-de-Calais a assisté à une série de contrôles au faciès, au Pont George V.
La police a vérifié les papiers de tous ceux qui avaient une allure étrangère, avec fouille au corps, et elle a arrêté trois ou quatre personnes.
S’agit-il de l’application de la nouvelle circulaire de M. Darmanin (en PJ) à propos des OQTF ?
Une interview de Jean-Claude Lenoir, président de Salam Nord/Pas-de-Calais, dans « L’Humanité’ du mercredi 16 novembre 2022.
Un article de Marine Babonneau dans le « Canard enchaîné » du mercredi 16 novembre 2022 :
Le 24/11/2021, 27 personnes exilées mourraient en mer en tentant de rejoindre le Royaume-Uni.
Un an plus tard, nous marchons pour leur rendre hommage et pour que cessent ces politiques meurtrières !
Rdv jeudi 24/11/2022, à 18h, place de l’Hôtel de Ville de Dunkerque
Merci de venir avec une bougie
Ces gens, sauvés par « l’Océan Viking » entre la Lybie et l’Italie vont enfin pouvoir descendre à terre.
Et c’est en France…
Voir cet article de la « Voix du Nord » du 11 novembre 2022.
Un article de la « Voix du Nord » du 22 octobre 2022.
L’audience avait eu lieu le 20 septembre, le jugement a été rendu le 12 octobre mais ne nous a été communiqué qu’aujourd’hui, 18 octobre.
Le Tribunal Administratif a annulé des arrêtés préfectoraux interdisant les distributions gratuites de boissons et de nourritures en certains lieux du Centre ville de Calais.
Ces arrêtés ont été jugés disproportionnés par rapport aux finalités poursuivies :
Le Tribunal n’a reconnu ni que ces distributions causaient des troubles à l’ordre public, ni qu’elles causaient des risques sanitaires.
Seule l’atteinte à la salubrité publique a été admise. Mais « les interdictions édictées ne remédiaient pas aux abandons de déchets consécutifs à l’activité de distribution de denrées. »
Un préfet se devrait quand même de s’entourer de compétences, afin d’éviter de se faire reprendre par un tribunal !