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pour les migrants et les pays en difficulté

On a lu, on a vu

Archives du mois de 11 2020

Un documentaire qui nous parle.

22 novembre 2020 -

https://www.france.tv/france-4/on-vous-raconte/2063763-les-droits-de-l-enfant.html

La première partie de ce documentaire raconte comment une petite Soudanaise de 5 ans s’est trouvée séparée de sa maman au moment de l’embarquement sur une pirogue pour rejoindre l’Europe...

La statue de la Liberté en demandeuse d’asile !

10 novembre 2020 -

Dans "La croix" du 9 novembre 2020.

Interview de Cédric Hérrou sur ARTE : "28 minutes", 9 novembre 2020.

10 novembre 2020 -

https://www.arte.tv/fr/videos/097407-056-A/28-minutes/

La newsletter d’octobre est parue.

8 novembre 2020 -
PDF - 1.9 Mo

LYON : consécration du principe de fraternité.

7 novembre 2020 -

Dans "20 minutes", le 28 octobre.

‌Source : 20 minutes (aujourd’hui)

.../... Le « principe de fraternité », dont avait déjà bénéficié Cédric Herrou, a aussi joué en faveur de Pierre-Alain Mannoni. L’universitaire niçois de 49 ans, militant de l’aide aux migrants a été relaxé de toutes les poursuites engagées contre lui par la cour d’appel de Lyon, a annoncé ce mercredi son avocate.
« C’est la consécration du principe de fraternité », a commenté Me Maéva Binimelis, après la décision analogue rendue en mai en faveur de l’agriculteur de la vallée de la Roya.
Cinq mois de prison avec sursis étaient requis

Pierre-Alain Mannoni était jugé pour avoir transporté trois Erythréennes venues d’Italie, en octobre 2016. L’enseignant-chercheur de 49 ans avait expliqué les avoir récupérées, blessées, dans un squat, et les avait hébergées une nuit avant de les conduire dans une gare des Alpes-Maritimes. Elles devaient être ensuite soignées à Marseille.

Cinq mois de prison avec sursis ont été requis à son encontre le 23 septembre. L’avocat général avait estimé que Pierre-Alain Mannoni avait « eu la volonté de soustraire ces trois personnes aux contrôles de l’État mis en place dans le cadre de sa politique migratoire ».
Relaxé à Nice en première instance en janvier 2017, l’universitaire avait été ensuite condamné à deux mois de prison avec sursis par la cour d’appel d’Aix-en-Provence et s’était pourvu en cassation. La haute juridiction avait annulé sa condamnation en décembre 2018, après la reconnaissance du « principe de fraternité » par le Conseil constitutionnel, et renvoyé l’affaire devant la cour d’appel de Lyon.



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